Possibilité de réaliser des conversions de créances
Sur une base volontaire et bilatérale, le Gouvernement ou les organismes appropriés de chaque pays créancier participant peut vendre ou échanger, dans le cadre de conversions de dettes en projets pour la protection de l'environnement, en projet d'aide ou en investissements ou d'autres conversions de dette locales :
(i) tous les prêts d'APD ;
(ii) les montants d'encours au titre des crédits, prêts et consolidations [traités dans le présent Procès-Verbal agréé] autres que les prêts d'aide publique au développement, jusqu'à 20 % des montants d'encours de créances au 31 décembre 1991 ou jusqu'à un montant de 20 millions de DTS, si ce montant est plus élevé.
Les pays créanciers participants et la République de l'Equateur informeront le Secrétariat du Club de Paris semestriellement, qui informera les autres créanciers, des accords de conversion qu'ils ont mis en oeuvre. Tous les éléments nécessaires pour évaluer cette opération, son impact sur l'économie de la République de l'Equateur et l'évolution de l'exposition du pays créancier seront transmis au Secrétariat, dont : la nature de l'opération et son objet ; les parties concernées ; le montant, le type et la valeur des dettes traitées ; le prix de vente aux investisseurs et les dépenses de la République de l'Equateur.
Clause d'entrée en vigueur
Les dispositions du présent Procès-verbal agréé entreront en vigueur à la condition d'une conclusion satisfaisante de la deuxième revue effectuée par le Fonds Monétaire International sur le programme appuyé par l'accord de confirmation approuvé le 19 avril 2000.
Accord mis en oeuvre le 25 mai 2001
Clause de bonne volonté
Si le Gouvernement de la République de l'Equateur met pleinement en oeuvre le présent Procès-Verbal agréé, maintient des relations satisfaisantes avec les pays créanciers participants et le Fonds Monétaire International met également en oeuvre avec succès l'accord en cours avec le Fonds Monétaire International approuvé le 19 avril 2000, au titre de l'accord de confirmation et a un nouvel accord approprié avec le Fonds Monétaire International, les représentants des pays créanciers participants sont d'accord en principe pour considérer un rééchelonnement ultérieur de la République de l'Equateur venant à échéance après le 30 avril 2001.
Seuil de minimis de 1 000 000 DTS
Paiement des sommes non consolidées avant le 31 décembre 2000