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La Sierra Leone bénéficie de l’initiative de suspension du service de la dette

 

En application de la fiche relative à l'initiative de suspension du service de la dette (ISSD) également approuvée par le G20, le Club de Paris a reconnu que la République de Sierra Leone est éligible à bénéficier de l'initiative. Par conséquent, les représentants des pays créanciers du Club de Paris ont accepté d'accorder à la République de Sierra Leone une suspension du service de la dette pour une durée déterminée, du 1er mai au 31 décembre 2020.

Le gouvernement de la République de Sierra Leone s'est engagé à consacrer les ressources libérées par cette initiative à l'augmentation des dépenses dédiées à atténuer l'impact sanitaire, économique et social de la crise COVID-19. Le gouvernement de la République de Sierra Leone s'est également engagé à demander à tous ses autres créanciers officiels bilatéraux un traitement du service de la dette conforme à la fiche agréée.

Cette initiative contribuera également à aider la République de Sierra Leone à améliorer la transparence et la gestion de la dette.

Les créanciers du Club de Paris continueront de se coordonner étroitement avec les autres parties prenantes lors de la phase de mise en œuvre de cette initiative, en particulier lorsqu'ils envisageront une éventuelle prolongation de la période de suspension.

 

Notes de contexte

1. Le Club de Paris s'est réuni pour la première fois en 1956. Il s'agit d'un groupe informel de créanciers publics dont le rôle est de trouver des solutions coordonnées et durables aux difficultés de paiement de pays endettés.

2. Le membre du Club de Paris qui participe à la réorganisation de la dette de la République de Sierra Leone est le gouvernement.de la République de Corée.

Les observateurs de l'accord sont les représentants des gouvernements de l’Allemagne, de l’Australie, de l’Autriche, de la Belgique, du Brésil, du Canada, du Danemark, de l’Espagne, des Etats-Unis d’Amérique, de la Fédération de Russie, de la Finlande, de la France, de l’Irlande, d’Israël, de l’Italie, du Japon, de la Norvège, des Pays-Bas, du Royaume-Uni, de la Suède et de la Suisse.

 

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Sierra Leone benefits from the debt service suspension initiative

Date de l'événement: 

Vendredi, 14 août, 2020 - 14:15

Sao Tomé-et-Principe bénéficie de l’initiative de suspension du service de la dette

 

En application de la fiche relative à l'initiative de suspension du service de la dette (ISSD) également approuvée par le G20, le Club de Paris a reconnu que la République démocratique de Sao Tomé-et-Principe est éligible à bénéficier de l'initiative. Par conséquent, les représentants des pays créanciers du Club de Paris ont accepté d'accorder à la République démocratique de Sao Tomé-et-Principe une suspension du service de la dette pour une durée déterminée, du 1er mai au 31 décembre 2020.

Le gouvernement de la République démocratique de Sao Tomé-et-Principe s'est engagé à consacrer les ressources libérées par cette initiative à l'augmentation des dépenses dédiées à atténuer l'impact sanitaire, économique et social de la crise COVID-19. Le gouvernement de la République démocratique de Sao Tomé-et-Principe s'est également engagé à demander à tous ses autres créanciers officiels bilatéraux un traitement du service de la dette conforme à la fiche agréée.

Cette initiative contribuera également à aider la République démocratique de Sao Tomé-et-Principe à améliorer la transparence et la gestion de la dette.

Les créanciers du Club de Paris continueront de se coordonner étroitement avec les autres parties prenantes lors de la phase de mise en œuvre de cette initiative, en particulier lorsqu'ils envisageront une éventuelle prolongation de la période de suspension.

 

Notes de contexte

1. Le Club de Paris s'est réuni pour la première fois en 1956. Il s'agit d'un groupe informel de créanciers publics dont le rôle est de trouver des solutions coordonnées et durables aux difficultés de paiement de pays endettés.

2. Les membres du Club de Paris qui participent à la réorganisation de la dette de la République démocratique de Sao Tomé-et-Principe sont les gouvernements de la Belgique et du Brésil. Le Portugal participe également à la réorganisation de la dette du pays emprunteur.

Les observateurs de l'accord sont les représentants des gouvernements de l’Allemagne, de l’Australie, de l’Autriche, du Canada, du Danemark, de l’Espagne, des Etats-Unis d’Amérique, de la Fédération de Russie, de la Finlande, de la France, de l’Irlande, d’Israël, de l’Italie, de la Norvège, des Pays-Bas, de la République de Corée, du Royaume-Uni, de la Suède et de la Suisse.

 

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Sao Tome and Principe benefits from the debt service suspension initiative

Date de l'événement: 

Mercredi, 12 août, 2020 - 11:15

Le Cap-Vert bénéficie de l’initiative de suspension du service de la dette

 

En application de la fiche relative à l'initiative de suspension du service de la dette (ISSD) également approuvée par le G20, le Club de Paris a reconnu que la République du Cap-Vert est éligible à bénéficier de l'initiative. Par conséquent, les représentants des pays créanciers du Club de Paris ont accepté d'accorder à la République du Cap-Vert une suspension du service de la dette pour une durée déterminée, du 1er mai au 31 décembre 2020.

Le gouvernement de la République du Cap-Vert s'est engagé à consacrer les ressources libérées par cette initiative à l'augmentation des dépenses dédiées à atténuer l'impact sanitaire, économique et social de la crise COVID-19. Le gouvernement de la République du Cap-Vert s'est également engagé à demander à tous ses autres créanciers officiels bilatéraux un traitement du service de la dette conforme à la fiche agréée.

Cette initiative contribuera également à aider la République du Cap-Vert à améliorer la transparence et la gestion de la dette.

Les créanciers du Club de Paris continueront de se coordonner étroitement avec les autres parties prenantes lors de la phase de mise en œuvre de cette initiative, en particulier lorsqu'ils envisageront une éventuelle prolongation de la période de suspension.

 

Notes de contexte

1. Le Club de Paris s'est réuni pour la première fois en 1956. Il s'agit d'un groupe informel de créanciers publics dont le rôle est de trouver des solutions coordonnées et durables aux difficultés de paiement de pays endettés.

2. Les membres du Club de Paris qui participent à la réorganisation de la dette de la République du Cap-Vert sont les gouvernements de la Belgique, de l’Espagne, de la Fédération de Russie, de la France et du Japon. Le Portugal participe également à la réorganisation de la dette du pays emprunteur.

Les observateurs de l'accord sont les représentants des gouvernements de l’Allemagne, de l’Australie, de l’Autriche, du Brésil, du Canada, du Danemark, des Etats-Unis d’Amérique, de la Finlande, de l’Irlande, d’Israël, de l’Italie, de la Norvège, des Pays-Bas, de la République de Corée, du Royaume-Uni, de la Suède et de la Suisse.

 

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Le Cap-Vert bénéficie de l’initiative de suspension du service de la dette

Date de l'événement: 

Mercredi, 12 août, 2020 - 11:00

La Zambie bénéficie de l’initiative de suspension du service de la dette

 

En application de la fiche relative à l'initiative de suspension du service de la dette (ISSD) également approuvée par le G20, le Club de Paris a reconnu que la République de Zambie est éligible à bénéficier de l'initiative. Par conséquent, les représentants des pays créanciers du Club de Paris ont accepté d'accorder à la République de Zambie une suspension du service de la dette pour une durée déterminée, du 1er mai au 31 décembre 2020.

Le gouvernement de la République de Zambie s'est engagé à consacrer les ressources libérées par cette initiative à l'augmentation des dépenses dédiées à atténuer l'impact sanitaire, économique et social de la crise COVID-19. Le gouvernement de la République de Zambie s'est également engagé à demander à tous ses autres créanciers officiels bilatéraux un traitement du service de la dette conforme à la fiche agréée.

Cette initiative contribuera également à aider la République de Zambie à améliorer la transparence et la gestion de la dette.

Les créanciers du Club de Paris continueront de se coordonner étroitement avec les autres parties prenantes lors de la phase de mise en œuvre de cette initiative, en particulier lorsqu'ils envisageront une éventuelle prolongation de la période de suspension.

 

Notes de contexte

1. Le Club de Paris s'est réuni pour la première fois en 1956. Il s'agit d'un groupe informel de créanciers publics dont le rôle est de trouver des solutions coordonnées et durables aux difficultés de paiement de pays endettés.

2. Les membres du Club de Paris qui participent à la réorganisation de la dette de la République de Zambie sont les gouvernements de la Belgique, de la France, du Japon et du Royaume-Uni.

Les observateurs de l'accord sont les représentants des gouvernements de l’Allemagne, de l’Australie, de l’Autriche, du Brésil, du Canada, du Danemark, de l’Espagne, des Etats-Unis d’Amérique, de la Fédération de Russie, de la Finlande, de l’Irlande, d’Israël, de l’Italie, de la Norvège, des Pays-Bas, de la République de Corée, de la Suède et de la Suisse.

 

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Zambia benefits from the debt service suspension initiative

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Lundi, 10 août, 2020 - 18:45

Djibouti bénéficie de l’initiative de suspension du service de la dette

 

En application de la fiche relative à l'initiative de suspension du service de la dette (ISSD) également approuvée par le G20, le Club de Paris a reconnu que la République de Djibouti est éligible à bénéficier de l'initiative. Par conséquent, les représentants des pays créanciers du Club de Paris ont accepté d'accorder à la République de Djibouti une suspension du service de la dette pour une durée déterminée, du 1er mai au 31 décembre 2020.

Le gouvernement de la République de Djibouti s'est engagé à consacrer les ressources libérées par cette initiative à l'augmentation des dépenses dédiées à atténuer l'impact sanitaire, économique et social de la crise COVID-19. Le gouvernement de la République de Djibouti s'est également engagé à demander à tous ses autres créanciers officiels bilatéraux un traitement du service de la dette conforme à la fiche agréée.

Cette initiative contribuera également à aider la République de Djibouti à améliorer la transparence et la gestion de la dette.

Les créanciers du Club de Paris continueront de se coordonner étroitement avec les autres parties prenantes lors de la phase de mise en œuvre de cette initiative, en particulier lorsqu'ils envisageront une éventuelle prolongation de la période de suspension.

 

Notes de contexte

1. Le Club de Paris s'est réuni pour la première fois en 1956. Il s'agit d'un groupe informel de créanciers publics dont le rôle est de trouver des solutions coordonnées et durables aux difficultés de paiement de pays endettés.

2. Les membres du Club de Paris qui participent à la réorganisation de la dette de la République de Djibouti sont les gouvernements de la Belgique, de l’Espagne, de la France et de l’Italie.

Les observateurs de l'accord sont les représentants des gouvernements de l’Allemagne, de l’Australie, de l’Autriche, du Brésil, du Canada, du Danemark, des Etats-Unis d’Amérique, de la Fédération de Russie, de la Finlande, de l’Irlande, d’Israël, du Japon, de la Norvège, des Pays-Bas, de la République de Corée, du Royaume-Uni, de la Suède et de la Suisse.

 

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Djibouti benefits from the debt service suspension initiative

Date de l'événement: 

Lundi, 10 août, 2020 - 15:15

La RD du Congo bénéficie de l’initiative de suspension du service de la dette

 

En application de la fiche relative à l'initiative de suspension du service de la dette (ISSD) également approuvée par le G20, le Club de Paris a reconnu que la République Démocratique du Congo est éligible à bénéficier de l'initiative. Par conséquent, les représentants des pays créanciers du Club de Paris ont accepté d'accorder à la République Démocratique du Congo une suspension du service de la dette pour une durée déterminée, du 1er mai au 31 décembre 2020.

Le gouvernement de la République Démocratique du Congo s'est engagé à consacrer les ressources libérées par cette initiative à l'augmentation des dépenses dédiées à atténuer l'impact sanitaire, économique et social de la crise COVID-19. Le gouvernement de la République Démocratique du Congo s'est également engagé à demander à tous ses autres créanciers officiels bilatéraux un traitement du service de la dette conforme à la fiche agréée.

Cette initiative contribuera également à aider la République Démocratique du Congo à améliorer la transparence et la gestion de la dette.

Les créanciers du Club de Paris continueront de se coordonner étroitement avec les autres parties prenantes lors de la phase de mise en œuvre de cette initiative, en particulier lorsqu'ils envisageront une éventuelle prolongation de la période de suspension.

 

Notes de contexte

1. Le Club de Paris s'est réuni pour la première fois en 1956. Il s'agit d'un groupe informel de créanciers publics dont le rôle est de trouver des solutions coordonnées et durables aux difficultés de paiement de pays endettés.

2. Les membres du Club de Paris qui participent à la réorganisation de la dette de la République Démocratique du Congo sont les gouvernements du Brésil, de la France et de la République de Corée.

Les observateurs de l'accord sont les représentants des gouvernements de l’Allemagne, de l’Australie, de l’Autriche, de la Belgique, du Canada, du Danemark, de l’Espagne, des Etats-Unis d’Amérique, de la Fédération de Russie, de la Finlande, de l’Irlande, d’Israël, de l’Italie, du Japon, de la Norvège, des Pays-Bas, du Royaume-Uni, de la Suède et de la Suisse.

 

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La République démocratique du Congo bénéficie de l’initiative de suspension du service de la dette

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Lundi, 27 juillet, 2020 - 11:00

Le Sénégal bénéficie de l’initiative pour la suspension du service de la dette

 

En application de la fiche relative à l'initiative de suspension du service de la dette (ISSD) également approuvée par le G20, le Club de Paris a reconnu que la République du Sénégal est éligible à bénéficier de l'initiative. Par conséquent, les représentants des pays créanciers du Club de Paris ont accepté d'accorder à la République du Sénégal une suspension du service de la dette pour une durée déterminée, du 1er mai au 31 décembre 2020.

Le gouvernement de la République du Sénégal s'est engagé à consacrer les ressources libérées par cette initiative à l'augmentation des dépenses dédiées à atténuer l'impact sanitaire, économique et social de la crise COVID-19.

Le gouvernement de la République du Sénégal s'est également engagé à demander à tous ses autres créanciers officiels bilatéraux un traitement du service de la dette conforme à la fiche agréée.

Cette initiative contribuera également à aider la République du Sénégal à améliorer la transparence et la gestion de la dette. Les créanciers du Club de Paris continueront de se coordonner étroitement avec les autres parties prenantes lors de la phase de mise en œuvre de cette initiative, en particulier lorsqu'ils envisageront une éventuelle prolongation de la période de suspension.

 

Notes de contexte

1. Le Club de Paris s'est réuni pour la première fois en 1956. Il s'agit d'un groupe informel de créanciers publics dont le rôle est de trouver des solutions coordonnées et durables aux difficultés de paiement de pays endettés.

2. Les membres du Club de Paris qui participent à la réorganisation de la dette de la République du Sénégal sont les gouvernements de la Belgique, du Brésil, de l’Espagne, de la France, du Japon et de la République de Corée.

Les observateurs de l'accord sont les représentants des gouvernements de l’Allemagne, de l’Australie, de l’Autriche, du Canada, du Danemark, des Etats-Unis d’Amérique, de la Fédération de Russie, de la Finlande, de l’Irlande, d’Israël, de l’Italie, de la Norvège, des Pays-Bas, du Royaume-Uni, de la Suède et de la Suisse.

 

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Date de l'événement: 

Mardi, 21 juillet, 2020 - 19:30

Forum de Paris sur les flux de capitaux

 

La présidence saoudienne du G20 et le Forum de Paris ont conclu le 8 juillet 2020 une conférence virtuelle ministérielle de haut niveau. La conférence a examiné les défis liés à la volatilité des flux de capitaux internationaux - exacerbée dans les économies émergentes par la crise sans précédent de COVID-19 - et les réponses possibles pour aider à rétablir des flux de capitaux durables et à mobiliser un financement solide pour le développement.

La conférence était coprésidée par M. Mohammed Aljadaan, ministre des Finances du Royaume d'Arabie saoudite, et M. Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances de la France. La conférence a réuni les ministres des finances et les gouverneurs des Banques centrales, les chefs des institutions financières internationales (IFIs), les dirigeants d’institutions financières privées et d'éminents universitaires.

En réponse à la crise sanitaire et économique sans précédent résultant de la pandémie du COVID-19, les gouvernements et les banques centrales du monde entier ont pris des mesures exceptionnelles, notamment des mesures de soutien budgétaire, de politique monétaire et préservation de la stabilité financière sans précédent. En outre, le lancement de l'Initiative historique de suspension du service de la dette (ISSD) pourrait fournir environ 14 milliards de dollars de soutien en liquidité immédiat et crucial par les seuls créanciers officiels pour les pays les plus pauvres en 2020, selon les estimations du Groupe de la Banque mondiale.

Cette réponse mondiale donne des résultats ; cependant, la situation reste difficile. Les sorties de capitaux de nombreux pays émergents et en développement ont atteint des niveaux sans précédent et leur capacité à accéder aux marchés internationaux des capitaux de manière robuste a été remise en question. Dans ce contexte, en lien avec la résilience financière, des progrès ont été réalisés en matière de soutenabilité de la dette dans le cadre de l'Initiative de suspension du service de la dette ainsi que du programme de financement du développement au milieu de la pandémie de COVID-19.

S'exprimant lors de l'événement, Mohammed Aljadaan, ministre saoudien des Finances, a déclaré : « En réponse à la pandémie du COVID-19, les pays du G20 ont mis en œuvre des mesures de soutien budgétaire, de politique monétaire et de préservation de la stabilité financière sans précédent et ont veillé à ce que les institutions financières internationales puissent apporter un soutien essentiel aux pays en développement et aux pays à faible revenu. Alors que la crise se poursuit, nous nous coordonnerons avec les pays membres du G20 pour promouvoir un financement durable pour les pays en développement, soutenir le retour des flux de capitaux vers les marchés émergents et les pays en développement, renforcer la résilience et promouvoir des sources de financement plus durables. »

Bruno Le Maire, ministre français de l'Économie et des Finances, a déclaré : « Une crise sans précédent nécessite des décisions extraordinaires. Le G20 et le Club de Paris ont franchi une étape historique pour faire face à l'impact du COVID-19 en lançant « l'Initiative de suspension du service de la dette » (ISSD) au profit des pays les plus pauvres, notamment en Afrique. Nous devons continuer à travailler ensemble pour assurer sa réussite. Dans les prochaines étapes, nous avons également besoin des bons outils pour soutenir les pays souffrant de sorties de capitaux. Nous ne pouvons pas laisser cette crise détruire des années d'efforts pour attirer des investisseurs et soutenir la croissance ».

La conférence a favorisé des discussions approfondies sur des questions clés à travers trois sessions parallèles en petits groupes.

La première session, « Financements durables pour le développement de l'Afrique », comprenait des discussions sur l’ISSD et a exploré les moyens de restaurer l'accès aux marchés pour les pays africains, d'augmenter les flux privés internationaux et de soutenir le secteur privé africain, en particulier les PME.

La deuxième session, « Mesures à prendre pour faire face à la situation actuelle et favoriser la reprise des flux de capitaux vers les économies émergentes », s'est concentrée sur les perspectives des flux de capitaux, en explorant les outils qui peuvent être mobilisés pour atténuer les risques de sortie de capitaux et le rôle du FMI en financement de long terme. S'exprimant lors de la session, Ahmed AlKholiefy, gouverneur de l'Autorité monétaire saoudienne a souligné que « le rétablissement des flux de capitaux est essentiel pour maintenir la stabilité du système financier mondial. Nous travaillons avec les pays du G20 pour mieux comprendre les causes de ces volatilités et discuter des mesures à prendre pour les atténuer ».

La troisième session, « Renforcer la résilience et développer des sources de financement plus durables pour l'avenir », a exploré les moyens d'améliorer la résilience des pays émergents et en développement, y compris par le développement des marchés de capitaux nationaux, tout en examinant les compromis immédiats et à moyen terme entre les différentes options de politique publique ainsi que le rôle de la coopération internationale.

Les résultats de la conférence alimenteront la discussion de la réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des Banques centrales du G20 qui se tiendra le 18 juillet 2020, sous la présidence saoudienne du G20.

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Conférence de haut niveau sur le rétablissement de flux de capitaux durables et un financement robuste du développement

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Forum de Paris sur les flux de capitaux

Date de l'événement: 

Mercredi, 8 juillet, 2020 - 18:00

Le Club de Paris publie des données détaillées sur ses créances au 31 décembre 2019

 

Depuis 2008, le Club de Paris publie annuellement le montant des créances que ses membres détiennent sur les États étrangers.

Ces créances sont détenues par les Etats membres du Club de Paris, soit directement, soit à travers leurs organismes officiels (notamment les agences de crédit à l’exportation et les agences d’Aide Publique au Développement).

Le tableau publié sur le site du Club de Paris indique le montant total des créances au 31 décembre 2019 détenues par ses membres sur chaque pays emprunteur, en distinguant les créances d’Aide publique au développement (APD) et les créances qui ne relèvent pas de l’APD (NAPD). Les encours sont agrégés au niveau de chaque pays emprunteur.

Le montant total des créances du Club de Paris, hors intérêt de retard, s’élève à 317 milliards de dollars, dont 179 milliards de dollars de créances APD et 138 milliards de créances NAPD.

Certains montants pour lesquels les créanciers du Club de Paris ont décidé d’accorder un allègement de dette peuvent encore apparaître dans ce tableau pour des raisons techniques, notamment en raison des délais de signature des accords bilatéraux.

La moitié des pays emprunteurs figurant dans ce tableau a toujours assuré le remboursement de sa dette à l’égard des créanciers du Club de Paris. La plupart des pays mentionnés dans le tableau ci-après a une très faible probabilité de demander au Club de Paris une restructuration de dette dans le futur, compte tenu de leurs perspectives macroéconomiques actuelles. Depuis la création du Club de Paris, quatre-vingt-dix pays ont négocié un accord avec le Club de Paris.

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Date de l'événement: 

Mardi, 30 juin, 2020 - 14:45

Rapport annuel 2019 et état d'avancement de la mise en oeuvre de l'ISSD

 

Le rapport annuel 2019 du Club de Paris est maintenant disponible sur le site internet du Club de Paris.

Ce rapport présente l’activité du Club de Paris au cours de l’année 2019, qui a permis de renforcer la coordination entre les créanciers officiels bilatéraux, qu'ils soient membres du Club de Paris, participants ad hoc à ses réunions ou créanciers non membres du Club de Paris (membres ou non du G20). Le Club de Paris a notamment accueilli l’Inde en tant que participant ad hoc.

L’année 2019 a été marquée par la réunion du Forum de Paris qui a eu lieu le 7 mai 2019 à Paris, avec le soutien de la Présidence japonaise du G20. Cette réunion à haut-niveau a rassemblé plus d’une soixantaine de dirigeants internationaux, dont une trentaine de ministres et gouverneurs de Banque centrale, des dirigeants d’organisations internationales et d’institutions financières internationales, ainsi que des représentants de la société civile et du secteur privé. Les participants au Forum de Paris ont échangé sur les moyens d’assurer un financement soutenable du développement, via l’identification de pratiques de financement plus durables, l’investissement dans des infrastructures de qualité et la mise en œuvre de politiques d’atténuation des risques associés à la volatilité des flux de capitaux.

Plus récemment, la coordination entre créanciers membres du Club de Paris et non-membres du Club de Paris s’est approfondie avec l’annonce le 15 avril 2020 d’une initiative de suspension du service de la dette (ISSD). Cette initiative conjointe entre le G20 et le Club de Paris constitue à ce titre une percée historique.

A ce jour, 32 pays éligibles ont officiellement demandé au Club de Paris à bénéficier de cette initiative. Parmi ces 32 pays, 18 pays (Burkina Faso, Cameroun, Comores, Congo (République du), Côte d'Ivoire, Dominique, Éthiopie, Grenade, Guinée, Kirghizstan, Mali, Mauritanie, Myanmar, Népal, Niger, Pakistan, Tchad et Togo) ont d’ores et déjà signé un protocole d’accord avec leurs créanciers membres du Club de Paris. Pour ces 18 pays, le montant total des échéances initialement dues en 2020 ainsi différées représente environ 1,3 milliard de dollars à ce jour, auquel s’ajoute le report d’arriérés préexistants.

Les créanciers du Club de Paris continuent de se coordonner étroitement avec les membres du G20 non-membres du Club de Paris, ainsi que les autres parties prenantes afin d’assurer la mise en œuvre de cette initiative.

Notes de contexte

1. Le Club de Paris s’est réuni pour la première fois en 1956. Il s’agit d’un groupe informel de gouvernements créanciers dont le rôle principal est d’assurer la coordination des créanciers publics lors des restructurations de dette.

2. Les 22 membres du Club de Paris sont les suivants : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Brésil, Canada, Corée, Danemark, Espagne, Etats-Unis, Fédération de Russie, Finlande, France, Irlande, Israël, Italie, Japon, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède et Suisse.

3. La publication d’un rapport annuel, depuis 2008, témoigne de l’engagement des créanciers du Club de Paris à contribuer à une plus grande transparence du travail et du fonctionnement du Club de Paris.

4.  Le rapport annuel 2019 du Club de Paris comprend les cinq grands chapitres suivants :

-- un chapitre sur l’activité outreach du Club de Paris,

-- un chapitre sur la dette soutenable pour une croissance durable et pour un financement vertueux du développement, thème central du Forum de Paris du 7 mai 2019

-- un chapitre sur l’engagement du Club de Paris avec le secteur privé dans la promotion d’une plus grande transparence et viabilité de la dette,

-- un chapitre sur la mise en œuvre des Principes Opérationnels du Financement Soutenable du G20,

-- un chapitre sur  l’approche contractuelle et les progrès et défis à venir.

A ces cinq grandes parties, s’ajoutent une présentation du rôle du Club de Paris ainsi que de l’encours du Club de Paris sur les pays emprunteurs.

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Annual report 2019 and DSSI progress

Date de l'événement: 

Mardi, 30 juin, 2020 - 12:15

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