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Les relations avec les créanciers du secteur privé et les pays créanciers non membres du Club de Paris
Depuis 2001, le Club de Paris tient des réunions techniques régulières avec les représentants des principaux créanciers privés pour discuter de sujets d’intérêt commun de façon informelle.
Pour la première fois lors de la réunion du 11 juin 2008, des créanciers souverains émergents (Afrique du Sud, Turquie, l’Exim Bank chinoise, la Kuwait Investment Authority et l’Abu Dhabi Fund for Development) se sont joints aux discussions.
Dans son discours de clôture, le Président du Club de Paris a proposé de mettre en place un nouveau groupe de travail ad hoc avec les représentants des principaux créanciers souverains émergents, dont le but est d’approfondir les discussions sur les questions de dette et d’encourager le partage d’information entre ses membres, sur une base informelle. Comme indiqué dans sa contribution à la Conférence de Doha sur le financement du développement, les membres du Club de Paris sont fortement favorables à un resserrement des liens entre créanciers. L’action coopérative est en effet au cœur du raisonnement du Club de Paris et constitue un pré-requis pour une réponse internationale efficiente aux problèmes de dette.
Le Club de Paris s’est de fait engagé à renforcer sa politique d’outreach vis-à-vis des principaux créanciers souverains des pays en développement. Etant donné l’importance qu’il attache à un dialogue soutenu et substantiel avec tous les créanciers, le Club de Paris se félicite des interactions avec tous les créanciers en tant qu’opportunités pour apprendre des approches alternatives et revoir, le cas échéant, ses propres principes et approches. |
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